Taxil Léo, Confessions d’un libre-penseur, Paris Letouzey et Ané, 1887, 416 p.
Léo Taxil, pseudonyme de Maurice Jogand, fut un grand mystificateur, mais le début de ses confessions, parfois fausses, nous entraîne à Marseille du temps de sa jeunesse et de sa participation, réelle, à la Commune de 1871. MB.
Un gros ouvrage, issu d’une thèse d’histoire, lui a été consacré : ROSSI, Robert, Léo Taxil (1854-1907). Du journalisme anticlérical à la mystification transcendante, Marseille, Quartiers Nord éditions, 2015, 825 p.
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